Ensemble de deux lettres de François de Chennevières.

La première est adressée à M. Le Boulanger, premier commis de M. le comte de Saint-Florentin ; elle relative aux bons soins de son médecin, le docteur Faure. Ce dernier n’a pas pu rencontrer le comte de Saint-Florentin, ayant du se rendre chez un malade sur les ordres du comte de Clermont-Tonnerre.

Le second courrier porte trois lignes autographes, et concerne la même affaire. «M. Boulanger, Monsieur, vine de passer chez moy pour me remettre votre requête ; il prétend qu’elle ne détaille pas bien les raisons sur lesquelles vous vous fondés pour demander un arrêt de surséance ; d’ailleurs il faut y joindre les sentences rendues en votre faveur et l’appel qui en a été interjetté et prouver que vous êtes retenu en ca pays-cy par des ordres supérieurs […]. Je suis fort fâché de ce retard […]. Il ne m’est pas possible de lever les obstacles qui se trouvent à l’expédition de cet arrêt […]».